Comme on pouvait le présentir, le Parlement a considéré qu'il ne disposerait pas d'un temps suffisant pour discuter, cette session ci ,de la nouvelle loi "consommation", et donc des fameuses "class actions".
Je me suis déjà exprimé sur le sujet dans ma note du 12 janvier. Je n'y reviens donc pas.
Le paradoxe est que, à l'intérieur même du groupe UMP à l'Assemblée, les points de vue divergent totalement entre ceux qui considèrent que le projet était trop timide (c'est mon point de vue) et ceux que le projet inquiétait...
Il n'est pas faux de penser que ce sujet est un élément déterminant dans le fonctionnement de notre système dit "libéral" ; je ne suis donc pas choqué que l'on veuille avoir le temps d'en discuter sérieusement, si telle est bien la motivation du "report" !
Pourtant, je me raliais presque à l'idée que, face à ce qui serait en germe une vraie réforme de société, il fallait bien commencer par un bout, quitte à élargir plus tard.
Tant pis ! Partie remise... à condition que la trappe ne soit pas sans fond ! Et cela ne change rien à l'importance que les communicants doivent accorder à ce sujet et à ces nouvelles "parties prenantes" (les "stake-holders" comme disent les Américains).
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