La dernière Assemblée générale de Communication publique, que préside Bernard Emsellem, revevait vendredi dernier Jérôme Filippini, le patron du SGMAP/Secrétariat général pour la modernisation de l'action publique. Parmi ses propos passionnants et forts , j'ai notamment retenu l'importance qu'il accorde à la communication et, en particulier, à l'écoute qu'il s'agisse de celle des usagers ou de celle des agents publics.
Pour lui, notamment, la modernisation passe d'abord par une bonne relation entre l'agent et l'usager. Mais il constate que, pour avancer, il faut s'attaquer à "la mauvaise relation de l'agent public avec sa propre administration"...
Cela m'a rappelé les propos tenus lors d'une réunion organisée il y a quelques mois par l'AFCI ( Association française de communication interne) par le Directeur de la qualité de la Poste. Parlant de la réforme profonde ( difficile mais réussie) des bureaux de poste, il expliquait , en substance, que la réussite était notamment passée par un travail considérable sur la relation entre le responsable de chaque bureau et ses agents.
Les deux propos se rejoignent totalement. On le sait mais on ne dira jamais assez qu'un travail colossal est à faire, dans le public mais aussi dans le privé, autour de ce thème.
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