Je lis dans le dernier numéro de Challenges - à mon sens, le meilleur magazine économico-business actuel - que la dernière campagne de pub "coups de pouce" de la Société Générale (signée Saatchi & Saatchi) affiche un taux de reconnaissance de plus de 80%, contre 60 à 65% à la même période pour le secteur bancaire.
Cela ne m'étonne guère : c'est l'une des campagnes que j'ai le plus remarquées à la TV... tellement je la trouve laide ,pour ne pas dire vulgaire !
La question me semble être de savoir s'il suffit d'être "remarqué" pour atteindre l'objectif ou s'il ne faut pas aussi déclencher de la sympathie, du désir et de l'empathie.
En ce qui me concerne, ce n'est vraiment pas cette campagne là qui m'aménera à la Société Générale, même si ,par ailleurs, la banque a de très nombreux atouts...
hello !
Rédigé par : Best regards | 01 juin 2007 à 20:32
Moi je suis à la SG, et depuis six mois que mon activité a connu des difficultés, je peux meme dire que le coup de pouce, c'est plus pour m'enfoncer la tete dans le sable! donc non seulement cette pub est laide et vulgaire, mais elle est aussi mensongère!!
Rédigé par : Môsieur Resse | 18 février 2007 à 18:12
Complétement d'accord aussi : je déteste ce pouce et je n'ai aucune envie d'aller dans cette banque !
Rédigé par : SR | 04 décembre 2006 à 22:22
Complètement d'accord. Et si on remettait en cause les post tests ? Quel intérêt que cette campagne ait été remarquée, si elle n'est pas attribuée, et même si elle l'est, si elle ne véhicule rien de positif qui conduise par exemple à l'envie d'ouvrir un compte à la SG ? Moi je rêve d'une question qui remplacerait toutes les autres : cette campagne vous a-t-elle donné envie d'acheter tel produit, de vous faire vacciner, etc.
Naïf, mon rêve ?
Sans compter que ce pouce a l'air d'être de la même famille que l'idée de la SNCF, celle qui se glisse dans un téléphone,au risque de le détraquer, genre ectoplasmes un peu répugnants, j'espère qu'ils ne vont pas se reproduire et nous envahir dans la vraie vie...
Rédigé par : joelle vaucelle | 29 novembre 2006 à 19:03